Si on se réfère aux communiqués de presse en ligne sur le site, je constate, sauf erreur de ma part,  une absence de réaction de la part de la FSU nationale à « l’affaire Taubira ». Pourtant le job a été consciencieusement fait pour les journalistes de RFI, Léonarda, Albert Jacquard … et toutes les bonnes causes que nous défendons.

Or, le comportement de son agresseuse est l’exemple même des défis que les enseignants ont à relever au quotidien et, ce qu’incarne Taubira d’histoire, de culture et d’humanisme ne devrait  laisser aucun défenseur de l’école sans voix.

Heureusement il y a celle de François Morel dans sa chronique du vendredi 1er  novembre sur France Inter. Il y évoque Victor Schœlcher, un nom que portent  certaines écoles je crois, et il y invite la jeune fille à « ouvrir un livre »… une idée à creuser pour des syndicats enseignants.

Gérard Clément