La FSU est la première fédération de tous les personnels

de l’Université de Poitiers.

Elle regroupe les principaux syndicats d’enseignants ou d’enseignants-chercheurs dans les universités (SNESUP), de  BIATSS  (SNASUB),  d’infirmières  scolaires  (SNICS) et de chercheurs (SNCS).  La  liste  présentée  par  la  FSU  est  représentative de toutes les catégories de personnels, de tous les métiers, corps, statuts et sites de l’université.

  • Des élu-es FSU combatifs pour la défense de tous
  • Dans le mandat précédent, les représentant-e-s FSU ont été les porte-parole de l’ensemble des collègues.
  • Nous avons combattu l’individualisation de la gestion des personnels, des avancements à la tête du client, et une mise en concurrence exacerbée.
  • Motivés, engagés, sincères, compétents et désintéressés, nos élu-es continueront à oeuvrer pour l’intérêt général, pour l’intérêt du service public et de ses personnels.

Pour être défendu-e, quel que soit mon statut,

pour des élu-es qui rendent des comptes,

le 6 décembre, je vote FSU !

Ces élections se déroulent dans un contexte d’attaques contre la fonction publique, de gels de postes et de suppression d’emplois. Nationalement, la précarité augmente. Les réorganisations permanentes de l’enseignement-supérieur et de la recherche (parcoursup, arrêté licence, PIA, RIFSEEP, COMUE, Ordonnances, réforme de la formation des enseignants…) déstabilisent les personnels et mettent en difficulté le service public.

HEURES D’INFORMATION SYNDICALE (en cours d’autorisation)

– 22 novembre 2018 de 11h à 14h – Campus bâtiment A4 – salle 06 – en présence de la secrétaire générale adjointe du SNASUB-FSU dès 11h et du secrétaire général du SNESUP- FSU à partir de 12h30. 

et à partir de 14h00  sur le site de la présidence – salle à confirmer).

– 27 novembre 2018 – site de l’IUT d’Angoulême – 10h – en présence de deux élu-es FSU. 

Précarité, Cédéisation, Primes, Restauration….

Dans le mandat à venir, les élu-es FSU se battront :

  • pour des mesures concrètes de résorption de la précarité dont la part augmente de façon de plus en plus inquiétante dans les universités ; Le combat de la FSU dans son précédent mandat a permis d’accéder à une plus large cédéisation et titularisation des personnels.
  • pour la stabilisation des collègues actuellement sur emplois contractuels, en leur accordant des conditions de car­rière et de travail similaires à celles des personnels titulaires ; La FSU a obtenu un alignement du régime indemnitaire des collègues CDI sur celui des titulaires. Elle se battra pour que la progression de leur carrière ne soit pas stoppée net comme c’est le cas aujourd’hui.
  • pour un plan pluriannuel de création d’emplois de titulaires. La FSU s’est opposée et s’opposera encore à toute forme d’externalisation de ses services qui créé toujours davantage de précarité ;
  • pour promouvoir l’égalité femmes-hommes concernant l’emploi, les carrières et les statuts ;
  • pour des règles de gestion des carrières claires et connues de toutes et tous, et non la généralisation du recours à des salaires ou traitements individualisés ; La FSU se bat pour une répartition démocratique et équitable entre l’ensemble des agent-es pour garantir un régime indemnitaire juste et transparent. La mise en place prochaine du RIFSEEP sera l’occasion pour la FSU de défendre une politique indemnitaire en fonction de critères objectivement définis. La FSU œuvre également pour une progression pluriannuelle des primes afin d’accéder aux meilleurs taux car la perte du pouvoir d’achat des fonctionnaires ne peut pas continuer.
  • pour le rétablissement des prestations sociales qui ont été supprimées pour une partie des personnels lors de la fermeture de la restauration administrative ; La FSU s’exprime dans chaque instance pour dénoncer les incidences sur le pouvoir d’achat des personnels.

Ne représentant que 15 % du personnel enseignant dans le supérieur, les enseignants du 2nd degré n’en assurent pas moins un tiers des enseignements dispensés.
Les élu-e-s FSU (SNES & SNESUP) assurent par leur présence en CAP (Commission Administrative Paritaire) un contrôle sur les différentes opérations de carrière (Mutation, avancement…) permettant de corriger les propositions initiales et garantissant ainsi transparence et équité.

En effet les CAPA et CAPN sont le lieu de nombreuses corrections du projet initial de l’administration.

Sans la présence de nos élus, le risque de voir se développer l’arbitraire et l’opacité est important.

Doctorants, post-doctorants, ATER,…, vous êtes les premières victimes des déstructurations de l’enseignement supérieur et des restrictions budgétaires : moins d’emplois statutaires c’est de plus nombreuses années de précarité pour vous.

La FSU défend

  • l’emploi statutaire et revendique un statut protecteur pour tous.
  • la reconnaissance du doctorat dans la fonction publique et dans les conventions collectives.
  • les décharges de services pour les nouveaux enseignants-chercheurs.
  • les décharges d’enseignement pour les PRAG-PRCE souhaitant poursuivre un doctorat.

Enfin, le FSU est à vos côtés pour que vous ayez tous les moyens matériels de mener à bien vos travaux de recherche.

Les élues FSU au CHSCT ont œuvré, tout au long de leur mandat, pour redynamiser cette instance et pour impulser un travail collectif dans l’intérêt général.

Présentes à chacune des réunions, elles se sont montrées à l’écoute de tous les personnels, sans distinction, pour que leur situation soit entendue.

–       initier des enquêtes et des visites dans des services en grande difficulté ;

–        impulser la création de la Cellule de Veille et d’Action pour le Travail qui réunit mensuellement les différents acteurs de l’université (médico-social, RH, CHSCT) afin de traiter mieux et en urgence les situations de souffrance au travail ;

–       créer les instruments de dialogues et d’alerte permettant au personnel de mieux saisir les instances de leurs difficultés [chsct@univ-poitiers.fr] et tenir au courant de l’action du CHSCT et des avis votés sur l’Intranet. Chaque appel a reçu une réponse rapide.

Dans le contexte actuel des menaces que le MEN et le MESRI font peser sur la Formation des enseignants, la FSU réaffirme son attachement à une formation universitaire et professionnelle de haut niveau. Celle-ci ne doit pas être polarisée uniquement par l’expérience de terrain ni déterminée par les besoins de remplacement non assurés par les recrutements. Les équipes plurielles doivent être protégées, et chacune des catégories de formateurs reconnue.

Le statut des structures de formation (ESPE) doit garantir l’autonomie scientifique, pédagogique et financière (moyens fléchés pérennes) et l’affectation de personnels propres.

Les sites départementaux doivent être maintenus et au moins  un site dans chaque département garanti.